nontre vos talent chez damemauve : defi d' ecriture !
en visitant les blogs, j' ai decouvert chez lady marianne ( www.chienne-de-vie.com ) un concours, plutot un defi de son amie violette : la dame mauve.
pour savoir comment on peut faire voici le lien pour le defi : http://www.damemauve.com/article-un-defi-participation-tunnel-aux-allumettes-46599961.html
le but etant d' ecrire une nouvelle ou une reflexion en prose d' un minimum de 20 lignes. bien entendu des personnages sont impose ainsi que le choix du theme. allez voir, j' ai trouve ca plutot amusant !!!
on peut y participer jusqu' au 30 avril apres c' est fini.
alors moi, raissa patatra, je me suis lance !
mon personnage c' est berangere, une femme de 45 ans journaliste. et le theme que j' ai choisi c' est les sans abris.
defi de : " le tunnel aux allumettes"
mon texte :
que le temps passe vite, je me souvient avoir eut pas mal de petit ami, mais celui qui m' a le plus marque c' est emmanuel. mon premier amour. celui qui m' a le plus touche a l' epoque. j' atais jeune 15 ans a peine, jolie. lui avait le meme age. on s' etait plu tout de suite. ca n' a dure qu' un ete, on etait heureux. j' habitais a l' epoque en normandie, et lui la savoie. on s' etait rencontre au camping de " la belle henriette". deux mois ou on ne se lachait plus. puis les vacances termines, on est retourne chacun dans son patelin. on a correspondu une bonne annee, j' ai encore toute ces lettres, mais un jour, il m' a dit qu' il avait des soucis de famille, et du jour au lendemain, plus de nouvelle. j' en avais des bleus aux coeurs, car je pensais a l' epoque qu' il etait l' homme de ma vie. les annees ont passee, aujourd' hui je travaille pour le parisien, et lui, j' ai appris par une amie que son pere l' avait mis dehors et qu' il avait vecu a la cloche, comme on dit.
au journal, on m' a propose un sujet dont je n' ai pas l' habitude, de travailler. je suis dans les fait divers.on m' a propose pour evoluer de travailler un article sur les sans abris. je ne sais pas encore pourquoi, mais j' ai accepte le defi. je me suis vetu comme une routarde, a une difference pret, c' est que j' etais habille avec des vetements de marque. j' ai pris le bus. je suis rentre dans les quartiers ou les indigeants regnent. mon sac a dos, n' avait rien de valeur, mais j' avais rempli de nourritures, de bibelots et de pieces de monnaies, si l' un d' eux pouvait m' aider. je ne me sentais pas rassure dans ce lieuou tout le monde vous devisage. j' ai avance sous le pont, le lieu de predilection des sans abris. j' ai vue une jeune fille, sans doute une fugueuse qui avait elue domicile sous cette cabane en carton. je me suis approche d' elle.
" bonjour mademoiselle", lui dis je doucement ! " bonjour madame" me repondit elle . j' allumais discretement mon dictaphone. " que puis je pour vous ? " me demanda la jeune fille sur le qui vive. " je m' appelle berangere et je suis journaliste !" lui dis je. " j'veux pas de journaliste, j' veux qu' on me fiche la paix, d' accord !" me dit elle. la conversation etait un peu mal engage, je m' y prend autrement. " j' ai appris qu' un ami a moi pouvait etre comme toi a la rue, et je voulais en savoir davantage sur ce monde, car je le recherche et je ne veux pas faire de mauvaise rencontre. " a bon et tu me donnes quoi en echange ?" me dit elle. je lui montre mes vivres et quelques accessoires de toilettes. elle les prends dans ces mains, elle sent le savon et le flacon de parfum et me dit " d' accord".
j' ai donc demande comment elle s' appelle, je lui ai confirme que je ne parlerai pas d' elle et que je renommerai au besoin. elle allait commencer son recit, j' etais toute ouie. j' ai presente mon dictaphone. elle m' a fait entrer dans son cabanon de carton. il y avait un rechau, un matelas et des couvertures, dont l' une de survie, un gericane d' eau et un sac a dos. rien de bien affriolant. elle se posa sur sa couche, moi par terre et ma raconta son histoire.
je m' appelle anahel, j' ai 21 ans, je travaille, mais je n' ai pas d' habitaion, car je ne gagne pas assez pour m' offrir l' hotel. donc j' y vais que de temps en temps, pour prendre une douche, me faire un peu belle, mais aussi pour pouvoir dormir dans un vrai lit. j' ai mon sac a doc qui est mon vrai logis. je suis caissiere dans un petit magasin a mi temps.si je me retrouve a la rue, c' est juste que j' ai perdu mes parentsl' annee derniere et que mon cher et tendre de l' epoque m' a foutu dehors. de toute facon il ma foutait sur la figure. donc j' ai prefere la rue. ce n' est pas facile la rue surtout quand on est une fille, car les gens sont mechants et c' est la loi de la jungle. il ne faut pas parler aux inconnus sous peine de se faire embarquer dans un reseau de prostitution, ou bien se faire tuer pour recuperer le peu de chose qu' on a. je me fais discrete. la seule chose que je peux te dire consernant ton ami, c' est qu' il est sans doute bien cache, pour avoir la paix comme moi, ou bien mort, ou encore dans ces reseaux ou regne les trafics en tout genre. essaye de trouver l' emperuer. c' est un type de 45 ans. il squate souvent vers la gare. tu le reconnaitra, il a une casquette avec des montagnes dessus. lui pourra t' en dire davantage. dis lui que tu viens de la part d' ana.
" merci anahel, garde tout ! c' est gentil de ta part de m' avoir confie tous ca. j' irai voir l' empereur." lui dis je en eteignant mon dictaphone et en me dirigeant dehors. puis je lui dit " au revoir", elle m' a juste fait un signe de la main. j' ai beaucoup de mal a comprendre comment on peut se retrouver a la rue, comme je plein cette gamine. et tout a coup ma reverie me reprend : " et si l' empereur n' etait autre qu' emmanuel, mon amour d' adolescence."
ca y est ma mouvelle est termine, mais j' avoue que j' aimerai bien y ajouter une suite. peut etre plus tard !!!
pour savoir comment on peut faire voici le lien pour le defi : http://www.damemauve.com/article-un-defi-participation-tunnel-aux-allumettes-46599961.html
le but etant d' ecrire une nouvelle ou une reflexion en prose d' un minimum de 20 lignes. bien entendu des personnages sont impose ainsi que le choix du theme. allez voir, j' ai trouve ca plutot amusant !!!
on peut y participer jusqu' au 30 avril apres c' est fini.
alors moi, raissa patatra, je me suis lance !
mon personnage c' est berangere, une femme de 45 ans journaliste. et le theme que j' ai choisi c' est les sans abris.
defi de : " le tunnel aux allumettes"
mon texte :
que le temps passe vite, je me souvient avoir eut pas mal de petit ami, mais celui qui m' a le plus marque c' est emmanuel. mon premier amour. celui qui m' a le plus touche a l' epoque. j' atais jeune 15 ans a peine, jolie. lui avait le meme age. on s' etait plu tout de suite. ca n' a dure qu' un ete, on etait heureux. j' habitais a l' epoque en normandie, et lui la savoie. on s' etait rencontre au camping de " la belle henriette". deux mois ou on ne se lachait plus. puis les vacances termines, on est retourne chacun dans son patelin. on a correspondu une bonne annee, j' ai encore toute ces lettres, mais un jour, il m' a dit qu' il avait des soucis de famille, et du jour au lendemain, plus de nouvelle. j' en avais des bleus aux coeurs, car je pensais a l' epoque qu' il etait l' homme de ma vie. les annees ont passee, aujourd' hui je travaille pour le parisien, et lui, j' ai appris par une amie que son pere l' avait mis dehors et qu' il avait vecu a la cloche, comme on dit.
au journal, on m' a propose un sujet dont je n' ai pas l' habitude, de travailler. je suis dans les fait divers.on m' a propose pour evoluer de travailler un article sur les sans abris. je ne sais pas encore pourquoi, mais j' ai accepte le defi. je me suis vetu comme une routarde, a une difference pret, c' est que j' etais habille avec des vetements de marque. j' ai pris le bus. je suis rentre dans les quartiers ou les indigeants regnent. mon sac a dos, n' avait rien de valeur, mais j' avais rempli de nourritures, de bibelots et de pieces de monnaies, si l' un d' eux pouvait m' aider. je ne me sentais pas rassure dans ce lieuou tout le monde vous devisage. j' ai avance sous le pont, le lieu de predilection des sans abris. j' ai vue une jeune fille, sans doute une fugueuse qui avait elue domicile sous cette cabane en carton. je me suis approche d' elle.
" bonjour mademoiselle", lui dis je doucement ! " bonjour madame" me repondit elle . j' allumais discretement mon dictaphone. " que puis je pour vous ? " me demanda la jeune fille sur le qui vive. " je m' appelle berangere et je suis journaliste !" lui dis je. " j'veux pas de journaliste, j' veux qu' on me fiche la paix, d' accord !" me dit elle. la conversation etait un peu mal engage, je m' y prend autrement. " j' ai appris qu' un ami a moi pouvait etre comme toi a la rue, et je voulais en savoir davantage sur ce monde, car je le recherche et je ne veux pas faire de mauvaise rencontre. " a bon et tu me donnes quoi en echange ?" me dit elle. je lui montre mes vivres et quelques accessoires de toilettes. elle les prends dans ces mains, elle sent le savon et le flacon de parfum et me dit " d' accord".
j' ai donc demande comment elle s' appelle, je lui ai confirme que je ne parlerai pas d' elle et que je renommerai au besoin. elle allait commencer son recit, j' etais toute ouie. j' ai presente mon dictaphone. elle m' a fait entrer dans son cabanon de carton. il y avait un rechau, un matelas et des couvertures, dont l' une de survie, un gericane d' eau et un sac a dos. rien de bien affriolant. elle se posa sur sa couche, moi par terre et ma raconta son histoire.
je m' appelle anahel, j' ai 21 ans, je travaille, mais je n' ai pas d' habitaion, car je ne gagne pas assez pour m' offrir l' hotel. donc j' y vais que de temps en temps, pour prendre une douche, me faire un peu belle, mais aussi pour pouvoir dormir dans un vrai lit. j' ai mon sac a doc qui est mon vrai logis. je suis caissiere dans un petit magasin a mi temps.si je me retrouve a la rue, c' est juste que j' ai perdu mes parentsl' annee derniere et que mon cher et tendre de l' epoque m' a foutu dehors. de toute facon il ma foutait sur la figure. donc j' ai prefere la rue. ce n' est pas facile la rue surtout quand on est une fille, car les gens sont mechants et c' est la loi de la jungle. il ne faut pas parler aux inconnus sous peine de se faire embarquer dans un reseau de prostitution, ou bien se faire tuer pour recuperer le peu de chose qu' on a. je me fais discrete. la seule chose que je peux te dire consernant ton ami, c' est qu' il est sans doute bien cache, pour avoir la paix comme moi, ou bien mort, ou encore dans ces reseaux ou regne les trafics en tout genre. essaye de trouver l' emperuer. c' est un type de 45 ans. il squate souvent vers la gare. tu le reconnaitra, il a une casquette avec des montagnes dessus. lui pourra t' en dire davantage. dis lui que tu viens de la part d' ana.
" merci anahel, garde tout ! c' est gentil de ta part de m' avoir confie tous ca. j' irai voir l' empereur." lui dis je en eteignant mon dictaphone et en me dirigeant dehors. puis je lui dit " au revoir", elle m' a juste fait un signe de la main. j' ai beaucoup de mal a comprendre comment on peut se retrouver a la rue, comme je plein cette gamine. et tout a coup ma reverie me reprend : " et si l' empereur n' etait autre qu' emmanuel, mon amour d' adolescence."
ca y est ma mouvelle est termine, mais j' avoue que j' aimerai bien y ajouter une suite. peut etre plus tard !!!